Salon du Made in France 2021

L’ARSEN sera présente du 11 au 14 novembre 2021 au salon Made In France 🇫🇷

En collaboration avec la région normande, plus de 33 exposants seront là pour vous proposer chaque jour de nombreuses animations.

Un grand jeu concours sera organisé, le tirage au sort aura lieu chaque soir à 18h !

Tentez de gagner :

– un week-end en Normandie offert par le CRT

– un panier offert par Saveurs de Normandie

– plus de 40 autres cadeaux

Retrouvez-nous sur le stand de la Région Normandie D35 – C34

Salon du Made in France 2019

Salon du Made in France 2021

L’ARSEN sera présente du 11 au 14 novembre 2021 au salon Made In France.

Plus de 33 exposants Normands vous y attendent et de nombreuses animations sont prévues chaque jour.
L’ARSEN associée à la Région Normandie, vous propose de participer à un grand jeu concours, un tirage au sort aura lieu chaque soir à 18h. 
Un week-end dans un hôtel normand est à gagner chaque soir et plus de 40 cadeaux seront offerts.

Olympiades des métiers : « J’ai appris à repousser mes limites »

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Jordan Platz s’entraîne au sein de son entreprise, Préci 3D, et au CFAI de Yutz pour les olympiades des métiers programmées en août à Kazan, dans la catégorie fraisage.  Photo RL /Anthony PICORE

70 jours avant le lancement des Worldskills ! Ces Olympiades des métiers, cette année à Kazan en Russie, demandent un entraînement de haut niveau. Jordan Platz pour la catégorie fraisage, 20 ans, de Seingbouse en Moselle-Est fera partie de l’Équipe de France.

Pour ces Olympiades des métiers, Jordan Platz a appris a appris à repousser ses limites. « Fatigue, concentration, technique, il faut tout travailler à la fois. Mes proches me disent que j’ai changé. C’est le concours, il change la vie. » Pourtant, c’est presque un hasard si Jordan Platz est entré en apprentissage industriel. « Ma mère m’a emmené aux portes ouvertes du CFAI de Henriville. J’ai vu les machines tourner. Ça m’a plu. » Jordan a donc pu quitter le lycée de Saint-Avold et une seconde quelque peu chaotique pour entrer en apprentissage. « Dès que je suis entré au CFA, c’est devenu une passion. » Le fraisage, une passion ! ? « Bien sûr ! On part d’un plan, on modélise sur ordinateur, on programme la machine et le fraisage consiste à découper la matière, façonner la pièce. » Magique ! Qui dit passion, dit perfection.

Passionné et opiniâtre

À bientôt 20 ans, Jordan Platz ne veut rien laisser au hasard. « Je voulais faire les Olympiades une fois et aller au mondial. » Sélection régionale, puis nationale à Caen. « Je suis arrivé deuxième. » Mais l’expert national se donne un peu de temps pour choisir entre le premier et le second. A priori, son assiduité à l’entraînement a plaidé en sa faveur. « Ce n’était pas facile, le logiciel du concours n’est ni celui de l’école, ni celui de l’entreprise et j’ai tout appris sur le Net. Mais j’ai bénéficié des conseils de Jérémy Martini, un ancien des Worldskills. » Pour autant, Jordan s’est sérieusement posé la question à propos du mondial. « C’est beaucoup de temps et d’argent. Si le CFAI et mon entreprise ne m’avaient pas suivi, jamais, je n’aurais pu me lancer. »

Mais que ce soit en entreprise, Préci 3D à Ennery ou au CFAI de Yutz, Jordan Platz a été entouré et encouragé. « Une vraie décision d’entreprise », confirme Thierry Jean, président de la PME spécialisée en pièces pour l’aéronautique notamment. « On lui a libéré du temps, mit un ordinateur à disposition, payé une formation sur le logiciel utilisé pendant le concours. Une façon de parler du métier, le rendre attractif et montrer que l’apprentissage et l’industrie déclenchent des passions. » Jordan confirme. « Si on n’est pas passionné, on ne peut pas faire ce concours. Depuis décembre, je m’entraîne tous les jours. » Mais il reste tant à faire. « Je dois aller chercher le détail du détail du détail. C’est ce que me dit mon expert national. »

Élysée et équipe de France

Il y va pour gagner. « Face à moi, il y aura les Chinois, des Japonais et des Coréens. Eux ont eu deux ans, voire plus, pour s’entraîner. Ils ne laisseront rien au hasard. » Alors, Jordan ne lâche rien. À Préci 3D, il est sur l’ordi, travaille sa partie dessin-programmation tout en surveillant les machines qui usinent en série. À l’école, au CFAI de Yutz, il s’exerce sur la machine, celle-là même qui sera installée à Kazan.

Le départ est fixé au 19 août et le concours est programmé du 22 au 27 août. « J’ai hâte et, à la fois, je trouve que le temps passe trop vite. Dans une semaine, j’irai passer au Portugal pour un entraînement technique. Il y a aussi, début juillet, une semaine avec l’équipe de France pour la dernière préparation physique et mentale. Ils seront une quarantaine à porter les couleurs de la France à Kazan. « On est soudé, on s’encourage, se conseille, se parle à travers WhatsApp. La cérémonie complète, où on nous a été remis notre équipement Équipe de France, a marqué un tournant. Il s’est passé quelque chose. » Une fierté mélangée à l’émotion. Il y a également eu la cérémonie à l’Élysée, « jamais, je n’aurais imaginé un jour être reçu par le Président de la République. » Autant dire que sa maman, Isabelle, vendeuse à Creutzwald, et sa copine, Léa, posent un regard plein d’étoiles sur Jordan. Elles ont déjà réservé leurs billets pour Kazan.

« Je dois aller chercher le détail du détail du détail. »

Laurence SCHMITT

source : le 13/06/2019 À 06:00 par Laurence SCHMITT.

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Papillons de nuit. Orelsan, artiste et entrepreneur, made in Normandie

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Luc Lesénécal, avec Orelsan, samedi après-midi, au festival Papillons de nuit. | OUEST-FRANCE

Avant son concert, ce samedi 8 juin 2019, à Papillons de nuit, le rappeur caennais Orelsan était l’invité d’une rencontre proposée par l’Association régionale des savoir-faire d’excellence normands, à Saint-Laurent-de-Cuves (Sud-Manche).

À quelques heures de son concert, Orelsan a pris le temps d’échanger, samedi après-midi, 5 juin 2019, sur l’espace « Nœud pap » du festival Papillons de nuit, à Saint-Laurent-de-Cuves (Sud-Manche). La rencontre était organisée par l’Association régionale des savoir-faire d’excellence normands et la discussion menée par Luc Lesénécal, patron de l’entreprise manchoise Saint-James.

Un échange de 30 minutes pour évoquer la filière artistique normande, aussi bien musicale que textile. « Je suis né à Alençon (Orne), j’ai vécu à Caen puis à Paris, avant de revenir à Caen », a précisé Orelsan, pour resituer ses liens. « Je viens d’ici. Mon nom de famille, c’est Cotentin ! » Une région qui inspire le rappeur : « Pour la chanson Défaite de famille, j’ai repris quelques souvenirs de Sées (Orne). Quand tu racontes un personnage, c’est bien de savoir d’où il vient. »

La rencontre entre Orelsan et Luc Lesénéchal était organisée par l’Arsen, l’Association régionale des savoir-faire d’excellence normands, samedi 8 juin 2019, au festival papillons de nuit, à Saint-Laurent-de-Cuves (Sud-Manche). | OUEST-FRANCE

Orelsan vient pour la troisième fois à Saint-Laurent-de-Cuves. « Les festivals se développent, pas forcément dans des grandes villes. Je n’ai pas connu ça quand j’étais jeune à Caen, même s’il y avait déjà le Cargo ou le BBC. C’est bien de montrer qu’il y a d’autres endroits que Paris et d’autres cadres. »

Le rappeur Orelsan, avant son concert à Papillons de nuit, à Saint-Laurent-de-Cuves (Sud-Manche), samedi 8 juin 2019. | OUEST-FRANCE

Une collection cet automne

Le chanteur caennais a créé une société d’édition. « J’ai des producteurs, des personnes qui gèrent mon management, dont beaucoup de personnes en free-lance. »

« Ici, nous avons 280 partenaires et 8 000 clients invités », a rappelé de son côté Luc Lesénécal. Le chef d’entreprise a évoqué la collaboration menée avec le rappeur, qui a déjà lancé une marque de vêtements. Pulls, marinière, bonnets, chaussettes… « une collection sortira début octobre », précise le patron de Saint-James.

« Ce qui me plaît, c’est la marque et le savoir-faire. On crée une mode à partir de vêtements de travail », poursuit Orelsan. « Je ne suis pas intéressé par le one-shot.» Début d’une longue collaboration ? «Nous allons retravailler ensemble », conclut Luc Lesénécal.

 

source : Publié le 08/06/219 à 19h19 et modifié le 11/06/2019 à 10h27 par Fabien JOUATEL.

www.ouest-france.fr

Où trouver de (vraies) bonnes madeleines ?

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Où dénicher la madeleine parfaite, celle de notre enfance qui respire le beurre et les œufs frais ? Tour d'horizon des madeleines les plus régressives.

Carl Marletti

Pour leur arrondi irréprochable et leur robe dorée, cuite à la perfection, les madeleines du chef pâtissier Carl Marletti font partie des meilleures de Paris. Aériennes, elles dévoilent un cœur qui fond en bouche. 

Carl Marletti, 51, rue Censier, 75005 Paris, www.carlmarletti.com

Bo & Mie

Les madeleines pralinées de la boulangerie Bo & Mie font partie de nos préférés. La raison ? Leur glaçage chocolat 64% et leur cœur délicieusement coulant… Il est même possible de passer commande en ligne et de se faire livrer chez soi. 

Bo & Mie,18, rue de Turbigo, 75002 Paris, www.boetmie.com

Lenôtre

Coup de cœur pour la madeleine de chez Lenôtre et ses arômes à la fleur d’oranger, vanille et zestes de citron. Bien bossue, parfumée et fondante en bouche, c’est l’une des plus gourmandes de Paris. Dans un autre registre, la madeleine aux noisettes est à tester aussi pour sa noisette caramélisée sur le dessus.

Lenôtre, 121, avenue de Wagram, 75017 Paris, www.lenotre.com

Boulangerie Moderne

Les madeleines de Tierry Rabineau, nappées d’un chocolat croquant et bien bombées, sont addictives. On conseille de venir tôt car elles sont victimes de leur succès.

Boulangerie Moderne, 16, rue des Fossés Saint-Jacques, 75005 Paris

Fauchon 

Pistache-framboise, chocolat, citron, miel… Chez Fauchon, la madeleine se décline sous plusieurs saveurs. Parfaitement sucrée, la pâte moelleuse renferme un cœur fondant. Mention spéciale pour la robe dorée de la madeleine classique, inégalable. 

Fauchon, 30, place de la Madeleine, 75008 Paris, www.fauchon.com

Blé Sucré

Chez Blé Sucré, Fabrice Le Bourdat (ancien chef pâtissier du Bristol et du Plaza) exécute une madeleine signature, la madeleine du partage. Colossale, elle est réalisée à l’aide d’un moule géant. À emporter également, les délicieuses petites madeleines dont le glaçage est aromatisé à l’orange.

 Blé Sucré, 7, rue Antoine Vollon, 75012 Paris

La Biscuiterie Jeannette

Ultra régressives, les madeleines Jeannette figurent parmi les meilleures de France depuis 1850. Fabriquées en Normandie, dans la région de Caen, elles sont riches en beurre pur et œufs frais. La madeleine parfaite de notre enfance, à commander directement en ligne. 

La Biscuiterie Jeannette,www.jeannette1850.com

source : Publié le MARDI, 19 FÉVRIER 2019

par Fanny Guénon des Mesnards

www.admagazine.fr